Ils sont prodigués par des esthéticiennes cosméticiennes professionnelles, tout spécialement formées.
Soins du visage, maquillage, modelage du corps, entretien et embellissement des ongles, les soins de socio-esthétique, empreints de douceur, offrent détente et confort, et agissent positivement sur le moral des patientes et patients, favorisant le processus de guérison.
Ces soins individuels apportent des moments d’écoute et de mieux être grâce à des gestes étudiés qui apaisent, embellissent et aident à lutter contre les altérations esthétiques qu’entraînent la maladie et les traitements.
En plus de leurs compétences techniques, les socio-esthéticiennes, qui travaillent de façon rapprochée avec les équipe soignantes, font preuve d’une grande capacité d’écoute, elles apaisent, rassurent, conseillent et aident les malades, souvent en souffrance, à se reconnecter à leur corps, à reconstruire leur image et à reprendre confiance.
La socio-esthétique est un accompagnement reconnu comme partie intégrante des soins de support encouragés par le corps médical pour une prise en charge globale et plus humaine des patients.
Renée Rousière crée son institut de beauté en 1950 à Tours. En 1966, elle décide de faire du bénévolat dans des services psychiatriques car très tôt, elle a constaté l’impact de ses soins sur le moral de ses clientes.
En 1978, elle crée le CODES : Cours d’esthétique à l’option humanitaire et sociale.
En 1979, la première session de formation à la socio-esthétique verra le jour.
Ce diplôme forme des esthéticiennes pour faire des soins adaptés aux personnes fragiles ou malades afin de retrouver l’image de soi, l’estime, la dignité et la confiance.
En 1984, la formation est homologuée par l’État. Une belle victoire !
Tout au long des années qui vont suivre, grâce à son impulsion, de nombreux travaux et partenariats avec le corps médical en d”couleront amenant la reconnaissance du bienfait des soins esthétiques sur les patients.
Offrir des soins de beauté et de bien-être (socio-esthétique et réflexologie) aux patients en traitement lourd à l’hôpital, principalement pour un cancer. Qui sommes-nous ?