LES SOINS DE REFLEXOLOGIE

Par digitopuncture, c’est-à-dire par pression sur des zones réflexes spécifiques du corps, la réflexologie agit sur le plan physique et émotionnel. Par son toucher doux et ciblé, on lui reconnaît la capacité de diminuer le stress, et de détendre le corps et l’intellect. Elle aide le corps à retrouver son équilibre naturel, stimule les fonctions d’élimination de l’organisme, améliore la circulation et soulage les maux.

La réflexologie est une technique très ancienne, qui a traversé les âges et les continents. Bien que les approches soient diverses (chinoise, africaine, thaï̈ ou occidentale) selon les formations et les zones du monde dans lesquelles les formations sont dispensées, elles ont toutes pour objectif de libérer les tensions du corps et de l’esprit en rétablissant le bon fonctionnement du corps humain, l’équilibre harmonieux des fonctions de l’organisme (homéostasie).

Après un échange avec la personne qui va accueillir la séance, le praticien peut, par un toucher spécifique et un protocole personnalisé, aider le corps à :

– atténuer le stress, car le soin procure une grande relaxation ;

– favoriser la circulation (sanguine, énergétique, lymphatique) ;

– éliminer les toxines ;

– redynamiser l’organisme ;

– stimuler le corps pour qu’il retrouve son équilibre (homéostasie).

Il existe diverses réflexologies : plantaire, crânienne, faciale, palmaire, la sympathicothérapie, l’auriculothérapie, l’iridologie… Celle que je pratique le plus dans le cadre de mon activité au Centre de Beauté CEW du Centre Hospitalier de Grasse est la réflexologie plantaire qui agit naturellement par digitopuncture sur des zones réflexes localisées dans les pieds. Le pied est la représentation miniaturisée du corps humain. On y retrouve chaque glande, organe, partie du corps dans des points précis. Une pression sur ces points produit un effet réfléchi dans le corps.

Telle que pratiquée en Occident, la réflexologie s’apparente au massage et à la relaxation, et procure un immense bien-être aux malade en souffrance et en questionnement. J’ai constaté qu’elle était souvent libératrice. »